Fatma Charfi, l’artiste plasticienne Tuniso-suisse, nous a quittée mais a certes gardé une empreinte inoubliable.

Ambassadrice de l’art de la culture, ses œuvres parlent d’elles-mêmes .
Entre sculptures, photographies, installations, peintures, performances et vidéos, nul domaine ne reste insensible à sa touche unique.

Elle a consacré sa vie et son art pour embellir l’humain avant tout.
Ses créations sont l’incarnation même d’un contraste entre une vulnérabilité née de discriminations et différents affres de paix et une foi indéniable pour un avenir meilleur et unissant tout le monde.

Elle a acquis grâce à sa riche expérience biculturelle, cette artiste s’est engagée corps et âme pour œuvrer en faveur d’un art transcendant les identifications réductrices et universaliser l’être humain.

Une artiste exceptionnelle qui a dédié sa vie pour l’ouverture à autrui, son acceptation et le dépassement de l’égoïsme aliénant répondant aux paroles très sages d’Alan Watss “ Black implies white, self implies other and life implies death ”.

Un hommage à cet être irremplaçable a été fait à l’Ambassade de Suisse en présence de son excellence M.Etienne Thévoz l’Ambassadeur de la Suisse en Tunisie, d’artistes, d’invités et de journalistes ainsi que de son fils.

Une exposition de ses œuvres reste toujours ouverte à l’Ambassade de suisse jusqu'au 14 décembre 2018

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