La pêche est devenue un loisir partagé par plusieurs Tunisiens pour se changer les idées, apprécier le calme de la nature, apprendre à patienter.
Il y a diverses techniques de pêche selon le poisson, le crustacé ou le coquillage recherché.
Ainsi on énumère grande pêche, petite pêche, pêche au large, pêche côtière car chaque espèce vit dans une tranche d’eau précise (sur le fond, près du fond, en pleine eau ou en surface).
Les engins de pêche sont alors répartis en engins actifs et passifs.
Les engins actifs :
Traînants
Tournants
Les dragues
- Les filets
- Les lignes et les palangres
- Les pièges
La pêche à la traîne
La pêche à la traîne est une méthode ancestrale pour prospecter de vastes étendues à la recherche de carnassiers actifs (Loup, Liche, Sériole, Barracuda, Bonite...).
La pêche à la palangre
La palangre est un engin de pêche sélectif basé sur la présence d'hameçons. Elle peut être calée à différentes profondeurs, suivants les espèces recherchées.
Il en existe 3 variantes :
- palangre de fond : maintenue sur le fond à l'aide d'ancrage
- palangre de surface : maintenue par des flotteurs
- palangre mixte
La pêche au filet maillant
Les filets sont des pièges sélectifs. Le maillage du filet est adapté à la taille et à l’espèce recherchée. Il sélectionne donc une gamme de tailles de poisson recherché, laissant les trop petits s’échapper et repoussant les trop gros.
La senne coulissante
Les sennes sont des filets rectangulaires utilisés en surface pour encercler les bancs de poissons préalablement détectés au sonar.
La pêche à la nasse ( ou casier )
Les nasses sont des pièges déposés sur les fonds marins. En général elles sont constituées d’une structure rigide recouverte de filet, et d’une ouverture : la goulotte.
La pêche au chalut
Le chalutier est un bateau de pêche qui remorque le filet appelé « chalut » qui est allongé et conique, c’est-à-dire en forme d’entonnoir. Il peut traîner son chalut entre deux eaux (chalutage pélagique) ou sur le fond (chalutage de fond).
L.B