Mme Louise Mushikiwabo, Secrétaire générale de l'OIF, a effectué aujourd’hui une visite au Village Tunisien de la Francophonie où elle a passé près de trois heures en compagnie du Coordinateur Général et président du comité exécutif d'organisation du XVIIIe Sommet de la Francophonie, M.Moncef Sassi et de la Commissaire du village, Mme Mamia Taktek.
Dans sa tournée à travers les différents pavillons et stands du Village, la SG de l’OIF a échangé avec les exposants des pays participants et a découvert la diversité et la richesse des cultures francophones. Dans une déclaration aux médias elle a affirmé qu’elle était « très heureuse » de visiter le Village Tunisien de la Francophonie. « J'ai voulu arriver à Djerba avant la conférence ministérielle et le Sommet surtout pour pouvoir visiter le Village et ses nombreux pavillons qui ont une représentation de la vie francophone de nos États et des institutions qui travaillent avec nous ainsi que le pavillon de notre propre organisation l'OIF », a-t-elle souligné. "Bravo à toutes les équipes qui ont mis sur pied cet espace éducatif, ludique, agréable et apaisant. Je suis très heureuse de voir à quel point la communauté de Djerba et ses zones environnantes sont présentes ici car l'idée d'organiser ce village juste avant le Sommet était justement de créer cette rencontre entre la communauté locale et le monde francophone et le monde entier », a-t-elle ajouté. « J'ai apprécié tout ce qui est lié à la Tunisie, l'artisanat, les produits de terroir, l'aspect numérique puisque ce Sommet est sur le thème de la connectivité dans la diversité, une connectivité par le numérique mais aussi par ce clin d'œil à la connectivité des peuples dès lors que l'OIF qui regroupe 88 Etats et Gouvernements est le deuxième bloc le plus important en termes de membres après les Nations Unies.
Leur présence aujourd'hui ici dans ce bel espace, que je dois visiter une autre fois avant la fin du sommet, apporte charme et chaleur humaine », a-t-elle indiqué avant de conclure qu’elle est très satisfaite de cet espace parce que « c'est parfaitement ce que j'avais en tête quand on a commencé à parler de l’aménagement d’un village, très francophone mais aussi très tunisien et qui respire Djerba »